Je suis perdu dans le sillage de vos pas
que c'était vous, je ne sais pas
connaissais pas la couleur de vos yeux
ni celle de vos cheveux
Nous distance sur trois cents ans
Mais, je sais que vous vivez près de moi
et allaitez mes rêves comme un enfant
pour donner la lumière à ma vie noire
Dans le silence de mes nuits solitaires,
vous me parlez dans mon oreille
et quand j'ai sommeil
Mon visage a exprimé le bonheur
Et quand Dieu m'amène au ciel
Je sais que je vais vous voir enfin
recevoir le baiser de vos lèvres de miel
et la chaleur de vos mains.
(Dédié à Jeanne Elizabeth Rouch, ma cinquième grand-mère.)
que c'était vous, je ne sais pas
connaissais pas la couleur de vos yeux
ni celle de vos cheveux
Nous distance sur trois cents ans
Mais, je sais que vous vivez près de moi
et allaitez mes rêves comme un enfant
pour donner la lumière à ma vie noire
Dans le silence de mes nuits solitaires,
vous me parlez dans mon oreille
et quand j'ai sommeil
Mon visage a exprimé le bonheur
Et quand Dieu m'amène au ciel
Je sais que je vais vous voir enfin
recevoir le baiser de vos lèvres de miel
et la chaleur de vos mains.
(Dédié à Jeanne Elizabeth Rouch, ma cinquième grand-mère.)
Il·lustració gentilesa de Camelia Davidescu